Les terres magiques de Thalarozia
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Les terres magiques de Thalarozia

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 Quelque part dans un campement rudimentaire

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Sybylle

Sybylle


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MessageSujet: Quelque part dans un campement rudimentaire   Quelque part dans un campement rudimentaire Icon_minitimeVen 20 Juin - 2:14

(voici donc la suite de mon histoire qui se trouve dans ma présentation)

Sybylle se réveilla avec un sale mal de crâne comme il ne lui était pas arriver souvent d'avoir. Elle Mis sa main sur le côté douloureux de sa tête est sentit une bosse au dessus de son oreilles gauche.

- Aille!

Elle était allonger sur un sol en terre battue, humide et qui sentait l'urine de chat. Elle prit appuis sur son coude pour regarder un peu ce qui se trouvait autour d'elle. De sa vue perçante, elle distingua 3 autres filles de son village auxquelles elle ne tenait pas trop. Elles semblait être enfermer dans une sorte de cabane rudimentaire, sans meubles ni fenêtre. Les murs étaient en bois et il n'y avait qu'une porte doté d'un judas permettant de voir ce qui se passait à l'intérieur.
Elle se releva doucement, encore étourdit par le coup qu'elle avait reçu un peu plus tôt. Elle n'osa pas adresser la parole aux autres filles qui s'étaient regrouper ensemble dans l'espoir de se sentir plus en sécurité. Elle alla tâter les murs pour connaître l'origine du bois et avec un peu de chance trouver une faille. Les autres ne pouvant que l'entendre tentèrent de savoir qui d'autre se trouvait avec eux.

- Élianne c'est toi? Il t'on prise toi aussi?

Sybylle hésita à leur répondre. Elle arrêta de bouger un moment pour bien prendre sa décision ou simplement pour essayer de s'effacer.

Non je ne suis pas Élianne.

Les autres ne répondirent pas immédiatement, ayant reconnu la voix de l'autre captive.

- Moi qui croyais que nos ravisseur avait bon goût! Ils n'ont peut-être pas remarquer la bâtarde que tu était quand ils t'on ammener. Ou bien ils ont dû se dire que tu ne serais jamais vendu vu la tronche que tu as.

Les deux autres filles pouffèrent de rire. Un rire méchant et sadique que la victime tenta vainement d'oublier.
Le bruit avait dû attirer des gardes, car un instant plus tard, l'unique porte s'ouvrit à la volé. Toutes se turent et le trio se resserra dans leur coin. Sybylle essaya de se fondre dans le décor, mais étant seule, elle devenait une proie facile et ce fût justement ce qu'avait dû se dire l'homme en armure qui entra dans la pièce pour s'avancer vers elle. Il lui saisi brutalement le poignet et la tira vers l'extérieur. Une fois sorti, il referma la porte derrière elle et tira un verrou pour empêcher les autres de s'enfuir.

- Hey patron, la petite bâtarde est debout!

Il la fit marcher sur un sentier ou plusieurs autre cabane rudimentaire avait été construite. Des hommes sales et encore couvert de sang la dévisagèrent avidement. Certain Lui firent des signes, d'autres voulurent essayer de la toucher, mais celui qui la traînait les menaça de son épée pour les en empêcher.

- Vous aurez votre tour quand le patron l'aura décider. Dégage!

Il donna un coup de pied à un type très maigre et d'age avancer qui avait trop avancer au goût du garde.
Sybylle jetait des regards inquiet de gauche a droite, recherchant le moindre salut possible.

Ils arrivèrent enfin devant une vrai bâtisse, pas très jolie mais qui ne semblait pas sur le point de s'écrouler et l'homme qui l'accompanait se permis d'entrer sans frapper. Elle fût conduite dans une pièce où se trouvait un seul siège, un type assis dessus et enchaîner à la patte du fauteuil, un cadavre de femme couvert d'ecchimoses.

- J'vous la laisse m'sieur?

Celui assis dans la grande chaise fit signe au garde de quitter les lieux.

(À suivre)
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Sybylle

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MessageSujet: Re: Quelque part dans un campement rudimentaire   Quelque part dans un campement rudimentaire Icon_minitimeVen 20 Juin - 14:13

Une fois que le garde eût quitté les lieux, l’homme se leva de son fauteuil et marcha en direction de la captive. Il se mit à lui tourner autour pour l’observer sous tous les angles. Sybylle gardait la tête basse, les yeux fixer au sol pour ne pas croiser son regard, tremblant de peur. Elle avait remarqué qu’il était vêtu d'une peau de coyote sur ses épaules nues. Son torse était couvert de cicatrices, de marques de griffe humaine et de morsures quelconques. Il portait aussi un pantalon fait d’un tissu épais et gris. Il n’avait pas de chaussure et ses pieds sales s’agençaient avec son pantalon.

- Alors qu’avons-nous là? Pas mal pour une petite bâtarde. Assez bien roulé je dirais!

Une fois revenu devant elle, il lui saisit fermement le menton pour la forcer à relever la tête et le regarder dans les yeux. Elle fuyait son regard en détournant les yeux vers le haut. Cependant elle ne pût manquer les traits de son visage, aussi massacré que son torse. Elle remarqua aussi le tatouage qu’il avait sur la joue gauche, lui descendant jusque dans le cou, ressemblant à un espèce de symbole religieux.

-Tu sais que tu as tué un de mes hommes cette nuit? J’espère que ton côté elfe noire à apprécier! Tuer, toi tu as ça dans le sang!

Il lui caressa la peau de la joue du dos de la main avant de lui asséner une gifle qui lui donna les larmes aux yeux. Par orgueil elle retint toute plainte et se refusa à en montrer d’avantage.

-Sale petite garce!

Il la poussa de manière à se qu’elle tombe par terre, sur son séan et vint la rejoindre à sa hauteur, sur le bois sale et sec du plancher. Il vint appuyer sur ses épaules pour la forcer à l’allonger et déchira sa longue jupe à hauteur de cuisse. La victime se débattit de toutes ses forces, griffant, mordant et donnant des coups de pieds partout où elle pouvait atteindre son opposant. Cela ne le dérangeait pas, en fait, la douleur l’excitait. Cependant, il n’avait pas fini de jouer. Ce dernier sortit un couteau de sa botte et la menaça de sa lame sous la gorge. Elle se clama un peu, mais son cœur continuait de battre à tout rompre.

-Voilà, bonne fille!

Il en profita pour promener la pointe de son arme une peu partout sur son ventre où la peau était dénudée. Son attention se porta sur la partie de tatouage qui lui passait sur le côté du bassin.

-Il va falloir que j’observe le reste. Jusqu’où est-ce que ça va ça?

Il coupa le premier lacet qui soutenait son corsage. Elle lui donna un coup de tête sur le nez ce qui le fit reculer un instant, aveugler par la douleur. Elle en profita pour essayer de se défaire de son emprise et essayer de se lever maladroitement, retenant les vêtements qui lui restaient. L’homme revint à lui assez rapidement et il lui saisit la cheville pour la faire retomber à nouveau. Il l’immobilisa au sol du mieux qu’il pu et de sa voix forte pour être capable d’enterrer les cris de la métisse, il appela ses gardes. Deux hommes semblables au premier qu’elle avait vu plutôt entrèrent dans la pièce et vinrent lui tenir fermement les bras. Le « patron » avait repris le dessus. En guise de punition, il posa le tranchant de son arme sur le ventre de sa victime et d’un mouvement lent pour lui faire ressentir toute la sensation de brûlure, il lui entailla la peau d’une marque d’environ 4 pouces, de son abdomen au bassin. Du sang commença vite à couler et l’homme y trempa les doigts pour le goûter.

-P’tite salope. Ton sang est celui d’une bâtarde, tu ne mérites même pas l’attention que je te porte.

Il essuya le reste du sang de sa main sur le visage de sa captive et toujours le couteau en main, coupa le reste de ses lacets qui retenaient son haut. C’est dans les plus effroyables cris de peur et de douleur, pleurant sans retenue, que Sybylle se fit violer.
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MessageSujet: Re: Quelque part dans un campement rudimentaire   Quelque part dans un campement rudimentaire Icon_minitimeSam 21 Juin - 18:50

Après un certain temps, elle fût ramener avec les autres, ses yeux laissant encore couler des larmes de honte et de frayeur. Le garde de l'entrée ouvrit la porte de la cabane et Sybylle fût pousser dans la noirceur à l'intérieur. Elle tomba sur ce sol humide et nauséabond, la rage brûlant au creu de son ventre. Ses vêtements étaient en lambeau, mais heureusement ils allaient tenir encore un peu. Dominée par la cuiosité, une des trois filles s'avança dans la pénombre pour lui demander ce qui s'était passer. Sybylle ne répondit pas.

- Alors? Qu'est-ce qu'ils vont nous faire? Qui sont-ils?

- Vaut mieux pour toi que tu ne sache pas

Elle se mirent à chucotér ensemble, lançant des suggestions au hasard. Celle qui l'avait insulté précédemment parla à son tour.

- Écoute, on voulaient que tu sache que si tu as besoin de parler...on est là, dans la même galère alors...

- La ferme!

Sybylle se releva et donna un coup de pied dans le mur. Il y eut un grand "CRACK" et le bois se fendit.

- La nuit va tomber bientôt. Je resterai pas ici!

Son comportement était différent. Peut-être était-ce le coup de l'émotion, mais un changement s'était opéré en elle.

- On restera pas ici non plus! Dit nous ce qu'on doit faire et on le fera!

La métisse réfléchie un moment et soupira, cédant à leur demande.

- Quand il fera nuit, l'une de vous appellera à l'aide. Un garde entrera et je refermerai la porte derrière lui pendant que vous lui sauterai dessus pour l'immobiliser au sol. Je me charge du reste.

Après ces mots, plus aucune d'elle ne parla. Sybylle ruminait en silence dans son coin, entretenant son sentiment de haine et son envie de tuerie. Probablement son côté elfe noire qui commençait à prendre le dessus.
À la nuit tomber, elle donna le feu vert aux filles pour mettre le plan en marche. L'une d'elle se mit a crier et à frapper dans la porte comme une déchaînée jusqu'à ce qu'un garde vienne faire une vérification. Une fois assez avancé dans la pièce, Sybylle se précipita sur la porte pour ne pas que les autres voient ce qui se passait à l'intérieur, pendant que les trois filles essayaient tant bien que mal à immobiliser l'homme qui se débatait avec fougue. Sybylle approcha agilement de lui, lui s'aisit son arme et avant qu'il ne se rende compte de se qui se passait, elle lui trancha la gorge. Du sang gicla sur leur vêtement et leur peau, les autres filles dégoûté se retirèrent du cadavre qui continuait de répendre ses fluides vitaux sur le sol qui l'absorbait à mesure. Sybylle ouvrit à nouveau la porte, égorgea un autre garde qui trainait sur son chemin et les autres filles se mirent à la suivre. La métisse poignarda à trois reprise le vieil homme qui avait voulu s'approcher plus tôt et qui avait reçu un coup de pied. Il s'était encore une fois trop avancer et le contact de sa vieille main diforme se posant sur sa cuisse l'avait quelque peu énervée, lui rappelant immédiatement de mauvais souvenirs. Elle en tua encore 2 autres et réussi finalement à s'enfonçer assez creu dans la forêt opposé à la montagne blanche pour se sentir en sécurité. Elle avança encore un peu puis se retourna pour faire face au trois cruches qui la suivaient toujours.

- C'est bon on est sortit, foutez-moi la paix

- Mais...Et si il nous rattrapaient? Et où est-ce qu'on va aller?

- Pas mon problème.

- Je croyais qu'on était amie!?

Sybylle eût un rire sarcastique.

- Nous amies? Ça m'étonnerait vois-tu! Retourner là-bas si vous voulez, faites vous passer dessus par tout les hommes du village sans dire un mots pour vous assurez la vie, mais ne compter pas sur moi pour vous guider.

Elle recommença à marcher, suivie par les trois filles. Elle se retourna à nouveau, ses yeux verts brillant d'une manière étrange. Elle pointa l'épée courte qu'elle avait à la mains, encore toute sangignolante, devant les yeux de la première.

- Je serai on ne peux plus claire. Fouter le camp et n'essayer pas de me suivre parce que je vous réserverai le même sorts qu'à eux c'est compris!?

Les trois autres se resserrèrent, ne prenant pas la menace à la légère. Sybylle s'éloigna d'elles et s'enfonça dans une forêt inconnue, respirant la liberté.

[-OUT-]
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